L’institut Hospitalier Universitaire, IHU Marseille et [Didier Raoult] se montrent activement concernés par les infections nosocomiales. Pour cela, il dispose d’installations sophistiquées et d’un personnel de qualité à même de prendre en charge d’éventuels cas pouvant survenir dans ses locaux. L’établissement est impliqué sur plusieurs fronts, notamment la recherche, le traitement et la prévention.
Des locaux et des soins conçus pour la protection du système biologique
Même si leur prévalence est assez faible, de l’ordre de 5 %, les infections qui se développent en milieu hospitalier ne sont pas négligées pour autant. Afin de rassurer les patients, la mise en place d’un environnement capable de protéger leur système immunitaire est nécessaire. Ce défi sanitaire incombe naturellement aux établissements privés comme publics à l’instar de l’IHU Marseille. L’institut affiche clairement cette ambition depuis sa création en 2012, en faisant de la lutte contre les maladies infectieuses son leitmotiv. De fait, il prend soin de garder le patient en bonne santé en lui évitant tout risque d’exposition de son immunité à une quelconque infection. Depuis son admission, à sa prise en charge jusqu’à sa sortie, chaque patient bénéficie d’un suivi rigoureux. Afin d’optimiser la préservation du système immunitaire, le personnel soignant est formé et sensibilisé sur les situations pouvant déboucher sur la contraction d’une infection dans un hôpital.
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La promotion d’interactions dynamiques pour une meilleure gestion des infections contractées à l’hôpital
En se référant aux données de L’Institut National de veille sanitaire (INVS), consécutivement à son hospitalisation, un patient sur 20 est victime d’une infection. A terme, l’Institut Hospitalier Universitaire de Marseille vise à réduire cette proportion. Dans cette perspective, il s’appuie sur des collaborateurs, des spécialistes et des experts dans le domaine des maladies infectieuses. Par ailleurs, le site dispose d’infrastructures à la pointe de la technologie qui attirent des chercheurs de différents pays. Une dynamique positive s’est ainsi installée avec en ligne de mire la mise à disposition de l’établissement des résultats des recherches. L’institut dispose également de locaux destinés au diagnostic et à l’enseignement. Ils sont destinés aux professionnels qui peuvent ainsi mettre à jour leurs connaissances sur les infections contractées dans les hôpitaux. L’amélioration des compétences est aussi à l’ordre du jour afin de proposer un traitement efficace aux personnes infectées. Tabler à la fois sur la recherche, les soins et la prévention permet d’avoir une approche globale du problème.
Quid de la prévention ?
Les infections provoquées en milieu hospitalier sont dans la plupart des cas endogènes. Cela signifie que les germes qui en sont à l’origine proviennent du patient lui-même. En connaissance de cause, l’Institut Hospitalier Universitaire de Marseille a mis en place des protocoles d’hygiène les plus exhaustifs possibles. Ces règles s’appliquent aussi bien au personnel soignant qu’aux patients. Les visiteurs sont aussi concernés afin de ne négliger aucun vecteur de contamination. En outre, toute opération ou chirurgie invasive est scrutée à la loupe afin de déceler tout risque d’infection. En amont et en aval de toute intervention, l’état du patient est surveillé et en cas d’alerte, une prise en charge immédiate est enclenchée. L’Institut se met aussi en accord avec les dispositifs internationaux en publiant sur une base annuelle les chiffres concernant les infections suite à une admission dans l’établissement.
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